50 ans après sa première édition à Bruxelles, le plus prestigieux des concours mondiaux de sommellerie reviendra en Belgique, en 2019. Plus de 65 sommeliers de 62 pays s’affronteront du 11 au 15 mars à Anvers pour le titre de meilleur sommelier du monde.
Du 11 au 15 mars 2019 se déroulera dans le centre Elisabeth à Anvers, le concours le plus prestigieux de sommellerie au monde, le “Best Sommelier of the World”. Ce concours unique se déroule tous les trois ans. Il s’agit d’une initiative de l’ ASI (Association de la Sommellerie Internationale) en étroite collaboration avec la Guilde des sommeliers de Belgique, sous la présidence de l’Anversois William Wouters. La toute première édition du concours a eu lieu à Bruxelles en 1969. Trois ans après la dernière édition, à Mendoza en Argentine, le concours revient donc en Europe.
Anvers plus fort que… Bordeaux
Deux villes ont posé leur candidature pour l’organisation de la compétition, mais c’est Anvers qui a finalement eu le dessus sur Bordeaux. Pour le sommelier William Wouters :
“Anvers est un port très important pour l’importation de vins du monde entier. Par ailleurs, les Belges sont connus comme étant de grands amateurs et connaisseurs de vin. Nous sommes donc particulièrement heureux de pouvoir organiser ce concours à nouveau en Belgique, cinquante ans après sa première édition. »
La Coupe du Monde des sommeliers
En mars 2019, ce seront en tout 65 sommeliers qui prendront part au concours qui débutera par les quarts de finale le 11 mars et se clôturera par la grande finale le 15 mars. Lors de cette finale, trois sommeliers se livreront un ultime combat pour obtenir le titre le plus prestigieux de leur profession. 62 pays enverront chacun leur candidat. Le groupe sera complété par les trois lauréats des concours continentaux respectivement d’Europa, d’Asie-Océanie et d’Amérique.
Diffusion en direct et streaming
La compétition à Anvers sera filmée en direct afin de permettre aux spectateurs – la salle Elisabeth dispose de 2000 places au total – de suivre la finale sur grand écran. Les images de la finale seront également disponibles en streaming sur Internet.
Cette nouvelle édition de ce concours international sera une occasion de montrer aux professionnels et au grand public les évolutions du métier :
« Aujourd’hui, il s’agit de bien plus que de servir le vin. Non seulement un sommelier doit disposer de connaissances très étendues sur un monde du vin qui ne s’arrête jamais d’évoluer, mais il doit également avoir un talent inné pour les relations humaines, disposer d’une grande intelligence émotionnelle et sociale et également être en mesure de gérer des aspects économiques comme une gestion efficace de son stock. »
Pour l’argentin Andres Rosberg, président de l’ASI “les connaissances œnologiques et les pratiques commerciales peuvent s’acquérir dans les écoles spécialisées, mais l’expérience repose en partie sur un processus informel, qui est acquis par la pratique. Cette réalité met en exergue la nécessité de formations continues, afin de consolider les expériences personnelles grâce à une approche rationnelle, et c’est justement ce que l’ASI rend possible à travers ses différentes activités.”.
Meilleur sommelier du monde 2019
50 ans après sa première édition à Bruxelles, le plus prestigieux des concours mondiaux de sommellerie reviendra en Belgique, en 2019. Plus de 65 sommeliers de 62 pays s’affronteront du 11 au 15 mars à Anvers pour le titre de meilleur sommelier du monde.
Du 11 au 15 mars 2019 se déroulera dans le centre Elisabeth à Anvers, le concours le plus prestigieux de sommellerie au monde, le “Best Sommelier of the World”. Ce concours unique se déroule tous les trois ans. Il s’agit d’une initiative de l’ ASI (Association de la Sommellerie Internationale) en étroite collaboration avec la Guilde des sommeliers de Belgique, sous la présidence de l’Anversois William Wouters. La toute première édition du concours a eu lieu à Bruxelles en 1969. Trois ans après la dernière édition, à Mendoza en Argentine, le concours revient donc en Europe.
Anvers plus fort que… Bordeaux
Deux villes ont posé leur candidature pour l’organisation de la compétition, mais c’est Anvers qui a finalement eu le dessus sur Bordeaux. Pour le sommelier William Wouters :
“Anvers est un port très important pour l’importation de vins du monde entier. Par ailleurs, les Belges sont connus comme étant de grands amateurs et connaisseurs de vin. Nous sommes donc particulièrement heureux de pouvoir organiser ce concours à nouveau en Belgique, cinquante ans après sa première édition. »
La Coupe du Monde des sommeliers
En mars 2019, ce seront en tout 65 sommeliers qui prendront part au concours qui débutera par les quarts de finale le 11 mars et se clôturera par la grande finale le 15 mars. Lors de cette finale, trois sommeliers se livreront un ultime combat pour obtenir le titre le plus prestigieux de leur profession. 62 pays enverront chacun leur candidat. Le groupe sera complété par les trois lauréats des concours continentaux respectivement d’Europa, d’Asie-Océanie et d’Amérique.
Diffusion en direct et streaming
La compétition à Anvers sera filmée en direct afin de permettre aux spectateurs – la salle Elisabeth dispose de 2000 places au total – de suivre la finale sur grand écran. Les images de la finale seront également disponibles en streaming sur Internet.
Cette nouvelle édition de ce concours international sera une occasion de montrer aux professionnels et au grand public les évolutions du métier :
« Aujourd’hui, il s’agit de bien plus que de servir le vin. Non seulement un sommelier doit disposer de connaissances très étendues sur un monde du vin qui ne s’arrête jamais d’évoluer, mais il doit également avoir un talent inné pour les relations humaines, disposer d’une grande intelligence émotionnelle et sociale et également être en mesure de gérer des aspects économiques comme une gestion efficace de son stock. »
Pour l’argentin Andres Rosberg, président de l’ASI “les connaissances œnologiques et les pratiques commerciales peuvent s’acquérir dans les écoles spécialisées, mais l’expérience repose en partie sur un processus informel, qui est acquis par la pratique. Cette réalité met en exergue la nécessité de formations continues, afin de consolider les expériences personnelles grâce à une approche rationnelle, et c’est justement ce que l’ASI rend possible à travers ses différentes activités.”.
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