La filière vin s’intéresse beaucoup à la consommation de vin chez les jeunes. Et cela depuis plusieurs décennies. Regard sur la dernière étude Ifop – Vin & Société.
D’un côté, il y a ces cavistes du web, ces jeunes applications, des initiatives toujours plus nombreuses. Toujours plus innovantes. Et de l’autre, il y a les néo-consommateurs. Ceux-là même cherchent-ils à donner du sens à ce qu’ils boivent ?
Et si, cette consommation reste occasionnelle, elle est souvent associé au repas. Autre point positif, ces jeunes qualifient le vin de culturel. Donc ils le voient comme un élément de l’art de vivre français.
Et s’ils goûtent le vin en famille, c’est donc qu’ils le consomment dans une atmosphère conviviale. Ensuite qu’ils le partagent. Pourtant des efforts restent à faire sur la culture et la connaissance du vin. Cet aspect vient avec l’âge. Ce serait donc plutôt des trentenaires qui envisagent des vinotrips – oenotourisme, ça fait vieillot.
Mais plus intéressants encore sont les résultats sur l’apprentissage du vin. Pour conclure, si les jeunes Français aiment le vin, ils trouvent encore ce milieu peu accessible. Parce que complexe. C’est donc que nous avons, nous, communicants à rendre le vin plus lisible. Par conséquent du travail sur la planche. Bonne nouvelle. Car seulement 3 jeunes Français sur 10 estiment savoir parler du vin.
L’avis de Bon Bec Bohème : Cette étude a été menée selon la méthode des quotas. Cette méthode est la plus utilisée par les instituts de sondage. Sa fiabilité ne peut pas être vérifiée. Elle peut avoir été réalisée dans des délais courts. Les personnes interrogées sont interchangeables si elles ont le même profil. Mais elle rejoint une autre étude qui observe cette année une hausse de la consommation occasionnelle. Et par conséquent l’engouement des jeunes pour les bars à vin et la culture du vin.
La consommation, les jeunes et le vin
La filière vin s’intéresse beaucoup à la consommation de vin chez les jeunes. Et cela depuis plusieurs décennies. Regard sur la dernière étude Ifop – Vin & Société.
D’un côté, il y a ces cavistes du web, ces jeunes applications, des initiatives toujours plus nombreuses. Toujours plus innovantes. Et de l’autre, il y a les néo-consommateurs. Ceux-là même cherchent-ils à donner du sens à ce qu’ils boivent ?
Et si, cette consommation reste occasionnelle, elle est souvent associé au repas. Autre point positif, ces jeunes qualifient le vin de culturel. Donc ils le voient comme un élément de l’art de vivre français.
Et s’ils goûtent le vin en famille, c’est donc qu’ils le consomment dans une atmosphère conviviale. Ensuite qu’ils le partagent. Pourtant des efforts restent à faire sur la culture et la connaissance du vin. Cet aspect vient avec l’âge. Ce serait donc plutôt des trentenaires qui envisagent des vinotrips – oenotourisme, ça fait vieillot.
Mais plus intéressants encore sont les résultats sur l’apprentissage du vin. Pour conclure, si les jeunes Français aiment le vin, ils trouvent encore ce milieu peu accessible. Parce que complexe. C’est donc que nous avons, nous, communicants à rendre le vin plus lisible. Par conséquent du travail sur la planche. Bonne nouvelle. Car seulement 3 jeunes Français sur 10 estiment savoir parler du vin.
L’avis de Bon Bec Bohème : Cette étude a été menée selon la méthode des quotas. Cette méthode est la plus utilisée par les instituts de sondage. Sa fiabilité ne peut pas être vérifiée. Elle peut avoir été réalisée dans des délais courts. Les personnes interrogées sont interchangeables si elles ont le même profil. Mais elle rejoint une autre étude qui observe cette année une hausse de la consommation occasionnelle. Et par conséquent l’engouement des jeunes pour les bars à vin et la culture du vin.
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